Le bonheur, être heureux… tout le monde y aspire ! Ce rêve inspiré par des films, des livres et des conférences en tous genres depuis la nuit des temps ! Mais force est de reconnaitre que ce n’est pas si aisé, les difficultés de la vie nous rattrapent et peuvent-nous faire courber le dos au fil des ans.
Il n’y a pas de recette miracle pour éviter les embuches, par contre une attitude plus ou moins positive peut alléger considérablement les effets du fardeau et nous faire garder la joie.
Parfois les enfants nous impressionnent par leur capacité à aller de l’avant, à passer des larmes au rire, du chagrin à la joie ! Dans ce contexte ce sont eux qui nous éduquent, l’ordre s’inverse, apprenons à leur image à avoir une âme d’enfant. L’adulte qui reçoit les écueils de la vie avec la simplicité d’un petit, s’en trouvera soulagé. Comme un enfant, nous sommes invités à savoir nous réjouir des petites choses du quotidien, à vivre dans la confiance mutuelle et à avancer pas à pas. Une simple visite d’un voisin ou ami qui vient nous aider peut nous faire chaud au cœur et éclairer notre journée ! Il y a souvent nombre de petites lumières toutes simples que nous voyons à peine et qui pourtant éclairent un peu le quotidien.
Lorsque l’épreuve est là, il importe de s’entourer car à plusieurs le fardeau est moins lourd à porter. Savoir s’appuyer sur ses proches et amis est indispensable pour échanger, se changer les idées et ne pas rester seul à broyer du noir. En se tournant vers les autres, on peut temporairement se décentrer de soi et oublier sa peine.
Gardons aussi une capacité d’émerveillement devant tout ce qui contribue à nous faire du bien, que ce soit un beau paysage, le sourire d’un enfant ou le cadeau d’un proche, et réjouissons-nous de ces belles choses ! C’est le principe du verre à moitié plein ou à moitié vide !
Savoir vivre aussi des bienfaits de l’instant présent nous épargne de penser à l’avenir qui sera peut-être plus sombre. Certains se donnent des petits objectifs quotidiens à atteindre, même s’ils sont minimes, mis bout à bout, on a vite la sensation satisfaisante d’avoir avancé donc progressé.
Cette méthode a aidé une femme de femmes monoparentales qui confiait lors d’un témoignage, sa peine à surmonter le deuil de son mari et à retrouver de la joie : « tous les matins je me disais : non, tu vas faire tout ce qu’il faut pour vivre » ! J’y suis arrivée et aujourd’hui je suis heureuse.
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