« Au delà des cultures et des situations, il existe une vraie solidarité entre les femmes.»
Dorothée Caratini s’est retrouvée veuve lors du suicide de son mari il y a quelques années, quand ses filles étaient très jeunes. Aujourd’hui elle élève seule Abigaëlle 9 ans, née aveugle et par ailleurs autiste et Sidonie 7 ans.
Elle vit dans le Nord de la France et après avoir travaillé dans la communication, elle s’adonne à une activité plus artisanale et artistique.
Partager le quotidien de deux enfants dont une handicapée laisse peu de place à l’improvisation, même si de loin leur vie ressemble à un joyeux bordel.
Elles ont dédié leur vie à celles des enfants. En effet, Lydie Ribet, responsable du relais petite enfance et éducatrice de jeunes enfants à Bruguières (Haute-Garonne) ainsi que Myriam Revellat, directrice de la structure crèche de la commune et puéricultrice de formation travaillent en binôme pour assurer l’accueil en collectivité des enfants du village. Elles nous racontent leur quotidien aussi mouvementé que joyeux.
À 35 ans, Candice est maman solo depuis trois ans déjà. Elle nous raconte son quotidien mouvementé, partagé entre sa fille Teri, 4 ans, et son travail de chargée de communication.
Le 2 août 2017, Candice donne naissance à Teri. C’est lorsque son bébé a 8 mois que la jeune femme de 35 ans qui habite à Asnières-sur-Seine (Hauts-de-Seine) se sépare du papa. Elle obtient la garde de sa fille, quelques mois plus tard, après une longue (trop longue) procédure judiciaire. Teri a 14 mois lorsqu’elle est placée en résidence chez sa maman. Commence alors pour Candice - en charge de la communication RH chez Médecins du monde - un quotidien à 100 à l’heure. La jolie blonde nous raconte comment elle a réussi à trouver un équilibre entre sa vie professionnelle, son rôle de mère et son bonheur de femme.
Dans son atelier de tapissier, débordant de vieux meubles et de liasses de tissus d'ameublement, Béatrice, la cinquantaine épanouie, m'ouvre ses portes à Courbevoie.
Muriel a 50 ans et travaille dans l’industrie pharmaceutique. Son mari l’a quittée, il y a 17 ans, un mois avant qu’elle ne donne naissance à leur troisième enfant. Malgré la violence de ce départ auquel elle ne s’attendait pas, elle a tracé sa route, la tête haute.
Sarah est avocate, elle a 39 ans. Elle a rencontré son mari alors qu’ils avaient 17 ans. En un quart d’heure, il a balayé leurs vingt années de vie commune et laissé Sarah sidérée. Mais pas question de s’effondrer. Pour elle. Pour ses enfants.
Récit d’une combattante.
Fabienne, 44 ans, vit en région parisienne avec ses enfants, Lola, 17 ans et Pablo, 13 ans. Sourde de naissance, elle a travaillé dur pour s’intégrer socialement. Ces dernières années l’ont soumise à des secousses auxquelles elle n’était pas préparée mais, comme toujours, elle a fait front.
Pascale est aide-soignante, elle a 38 ans, deux enfants de 12 et 8 ans et vit à Bordeaux. Mariée à son amour de jeunesse, elle a vécu un véritable tsunami quand il est parti et pensait ne jamais s’en remettre. Mais la vie en a décidé autrement. Heureusement.
Un, deux ou trois enfants à élever seule à cause d'une séparation, d'un divorce ou d'un décès. Relevez le défi, vous n'êtes pas seule. Comme ces femmes, témoignez de votre courage !
Lena vit à Roubaix, elle a 38 ans, une petite Eloa aujourd’hui âgée de six ans et de l’énergie à revendre. Elle aurait pu s’écrouler face aux épreuves, à la trahison mais au lieu de cela, elle s’est découverte une âme de guerrière.
Après 17 ans de vie commune, Déborah prend la décision de quitter celui qui lui a donné deux enfants. Elle met ainsi un terme à une vie de mensonges, de tensions et de frustrations pour reprendre son destin en main.
Stéphanie a 47 ans, une petite Prune de 11 ans et un boulot d’attachée de presse qui la passionne. Au moment où le confinement a été annoncé, elle a trouvé l’accord parfait avec son ex.
Bérangère, la force tranquille
Bérangère est avocate, installée à Paris, à son compte. Elle a 35 ans quand elle décide de quitter son mari après plus de dix ans de vie commune. Le plus dur n’a pas été de l’annoncer à Tom, leur fils alors âgé de 5 ans ½…
En rencontrant Audrey à Nanterre, jolie trentenaire épanouie, on ne peut imaginer les années noires qu'elle a vécues. Belle leçon d'espérance qu'elle livre avec beaucoup de simplicité et de naturel, en révélant ses petits outils à la portée de toutes !
Après un mariage de cinq ans, Alexandra a élevé seule son fils. En dépit d'inévitables périodes plus sombres, cette jeune quinqua débordante d'énergie nous fait part de la force qui ne l'a pas quittée et lui permet aujourd'hui de récolter les fruits de cette épreuve, notamment pour sa vie professionnelle de psychothérapeute à Sèvres.
Mieux vaut pas de père qu'un mauvais père, tel est le principe que s'est donné Marie Laure, assistante de direction et boulonnaise d'une petite cinquantaine d'années élevant seule sa fille depuis sa naissance. Seul un désir profond de connaitre les joies de la maternité l'a conduit à faire ce choix d'avoir seule un enfant et de l'élever sans père.
Une fin de semaine de travail, les enfants chez leur père, Anne alors détendue me reçoit autour d'un verre pour partager son expérience de jeune maman qui retrouve sa force et son épanouissement grâce à ses enfants !
Autour d'un café sur sa terrasse ensoleillée, Isabelle me partage son expérience de jeune quadra élevant seule ses 4 enfants depuis le départ de leur père. Je suis d'emblée frappée par sa volonté farouche et son courage.
Entre deux rendez-vous, Mylène m'accorde de son temps précieux pour témoigner de son choix et de sa détermination pour élever seule sa petite fille de 8 ans.
Courant d'une salle de classe à l'autre, Claire m'accorde de son temps précieux pour témoigner de son expérience de jeune maman ayant élevé seule ses deux enfants.
Professeur et documentaliste à Bourg-la-Reine, Salima 59 ans témoigne sur sa vie de femme ayant dû quitter son pays natal l'Algérie ainsi que toute sa famille, pour se réfugier en France puis y élever seule ses trois enfants.
Il n'y a pas d'âge pour les sports de combat ! Avant de rejoindre son cours d'aïkido, Alicia 58 ans agent administratif à l'hôpital me reçoit un samedi matin autour d'un thé dans son petit appartement de Vanves. Même s'il lui manquera toujours une épaule pour reposer sa tête, Alicia est animée d'un courage et d'une joie intérieure incroyable qui lui ont permis de dépasser bien des épreuves.
Dans l'atmosphère familiale de sa maison de Courbevoie, je rencontre Vanessa, la quarantaine épanouie, qui malgré sa souffrance due à une séparation, incarne parfaitement sa devise : croire en la vie. Bel adage que chacune gagnerait à s'approprier pour se reconstruire après la séparation !
En rencontrant Florence à Saint Cloud, jamais je n'aurai pu imaginer que derrière cette jolie quinqua rayonnante se soit cachées tant de souffrances. Elle nous livre son témoignage, comment ses épreuves sont devenues le terreau de sa joie d'aujourd'hui, à travers notamment son métier de coach.
Agnès a enchainé les épreuves que sont la maladie, la séparation puis le suicide... Aujourd'hui la tempête est passée et le calme est revenu, grâce au courage impressionnant de cette jeune artiste boulonnaise toute fine mais si forte !
Claude Eliott joue à côté de nous avec ses copains. Sa maman Amélie, dans un doux mélange de volonté et de paix, m'explique comment elle a construit sa vie avec son fils et son ex-conjoint, dans une harmonie presque parfaite !
De nature fragile et abandonnée après 30 ans de vie commune, Patricia n'imaginait pas se relever d'un tel choc ! Et pourtant cette mère et grand-mère d'une famille nombreuse de Sèvres, investie dans le milieu associatif, a su trouver les points d'appuis pour sortir la tête de l'eau et revenir lentement au rivage.
Prendre la vie du bon côté, telle est la devise de Dominique, cette jeune boulonnaise de 40 ans responsable RH dans un hôpital parisien ayant fait face à de nombreuses turpitudes. Malgré la séparation, la maladie puis le départ de son pays d'origine, aujourd'hui la page est tournée et sa joie est manifeste.
« Il y a tellement plus grave », Sophie ne cesse de le répéter, sourire aux lèvres ! Pourtant cette jeune quadra n'a pas été épargnée par les difficultés, élevant seule à Bagneux ses 4 jeunes enfants issus de deux unions et d'un couple mixte.
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