L’univers du bio explose, il représentait déjà en 2017 un marché de 8 milliards d’euros, et ne cesse d’augmenter. Il est difficile d’y voir clair mais tout le monde s’entend pour dire que si l’on veut préserver son capital santé et protéger notre planète, notre choix pencherait très significativement vers la bio attitude ce qui signifie une alimentation bio, locale et de saison !
Un constat tout d’abord : les commissions d’enquêtes sanitaires révèlent régulièrement des résultats alarmants pour certains produits envahis de pesticides, d’additifs … bref, devant un tel sentiment d’insécurité, cessons de nous « empoisonner » et surveillons de près le contenu de nos assiettes en commençant au minimum par ne plus consommer de plats tous préparés dont de gros doutes planent sur leurs compositions.
Soyons acteur de notre bien-être et de celui de notre planète, protégeons-nous ainsi que notre environnement.
Le bio s’oppose aux pesticides, certes ils contribuent à éliminer tout ce qui est nuisible à l’agriculture (champignons, végétaux, animaux) mais ils renferment des éléments toxiques pour l’homme, à l’origine de problèmes de santé à court et à moyen terme. Leur impact sur l’environnement est redoutable, puisqu’ils sont à l’origine de la pollution de l’air et du sol, et par conséquent affectent la santé de l’homme, des animaux et des végétaux.
Il en est de même pour les engrais chimiques utilisés pour stimuler la fertilité de nos sols soumis à une exploitation intensive, et responsables de la pollution de l’air, du sol et même du réchauffement climatique.
Alors puisque vous voulez le meilleur pour vos enfants et pour vous-mêmes, nourrissez-vous convenablement. Le bio se trouve partout maintenant, bien sûr dans la plupart des supermarchés qui mettent en place des rayons spéciaux, mais aussi sur les marchés des petits producteurs qui proposent les fruits de leurs exploitations. Une tendance également est à la vente en ligne de « panier du potager » livré à domicile avec de bons produits frais et 100% bio.
L’argument financier en faveur du bio peut être un frein, même si les prix baissent en grande surface, mais ne faut-il pas manger moins mais mieux ?